Divertissement : Le générateur de mots d'amour

Publié le par Laurelyne

Image Hosted by ImageShack.us

 

Un petit site amusant, qui genere un poème à partir des informations
 que vous lui donnez.

Voici mon résultat :

Petite paquerette et grand mousquetaire

Dans un monde lointain
Vivait une servante,
Elle attendait qu'un mousquetaire vienne l'enlever
Rêvant chaque nuit à ce jour si merveilleux,
Et cultivant une paquerette en secret.
''Elle se mariera bien avec tes yeux marrons, se disait-elle,
Et je la glisserai dans tes cheveux bruns.''
Un jour elle vit Nicolas, elle reconnut son mousquetaire.
''Pourquoi depuis 30 ans, ne l'ai-je point remarqué?''
Pensai-je.
Oui, Nicolas, tu l'as compris,
C'est moi qui t'aime ainsi.
C'est à toi que j'offre cette paquerette,
Sois son mousquetaire, son tendre mousquetaire,
Et sois mon magicien,
Celle qui emporte les coeurs au bout du ciel bleu...



Publié dans Jeux de mots

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
R
C'est beau, de quelques mots d'y trouver tout ce bonehurAlors je continue en t'offrant le parfum du muguet qui fleurira demain comme il se doitBisous
Répondre
P
C'est pas mal !! Bisous ma Lolo et à très vite.
Répondre
R
Et dire que je passe des heures à rechercher la rime, c'est pas juste...En tout cas plus besoin de se creuser les méninges pour envoyer une petite carte.N'empêche que les mots du coeur seront toujours les plus beaux, la machine ne remplacera jamais notre pensée profonde envers l'être aimé...La poésie de l'Ame sera toujours notre met favori.Poétiquement Roland
Répondre
V
Mignonne, cette déclaration...
Répondre
F
Félicitations! Voici votre roman...<br />  <br /> Travailler Plus ...par Sarko 1er   Paris n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Sakounet. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte.   Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou, et entra.   - Carla, tu es là? Appela-t-il.   Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.   - Donne ton manteau, je vais te débarrasser, dit-elle.   - Tu es si opportuniste , répondit simplement Sakounet.   - Tu viens? Fit gaiement Carla.    Sakounet pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil.    Il ferma les yeux, et bailla.   - Viens sur mes genoux, dit-il à Carla. Je vais te raconter quelque chose.   Celle-ci obtempera, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:   - Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!   - Ah oui? Fit Sakounet. Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.   - J'aimerais bien voir ça!   - Viens, je vais te le dire en secret... dit-il.   Mais Carla, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour.    - Je t'aime, dit Sakounet.   - Je t'aime aussi, dit Carla.   Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.      - Cela fait déjà trois mois... trois mois que nous nous sommes vus... trois mois que la foudre m'a frappé... et j'ai toujours su que c'était toi l'amour de ma vie. Et ce, malgré mes aventures passées.    - Oh... c'est bien vrai?   - Oui, c'est vrai.   - Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi omnipresent à l'intérieur qu'à l'extérieur.   Sakounet rougit. Il se sentait bien. Au loin, un elephant criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.    - Ma puce... Carla...   Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un chien dent, en train de repousser à l'air libre. Près d'eux, La Gauche Au Complet chantait ''Rumba'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Sakounet fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Picasso, Carla réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Sakounet rouvrit les yeux.    - Je ressens les mêmes choses qu'à notre mariage, dit Carla.   - C'est étrange, moi aussi! Sourit Sakounet.    Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.   - Ne me quitte jamais, disait Sakounet.   - Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop suffisant pour que je te quitte, répondait Carla. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Francois. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.   Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.   Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.
Répondre